Né à Romans et résidant à Saint-Uze, il aura 17 ans le 20 novembre et comme tous les scorpions, il est volontaire et possède un caractère d’acier.
Dès l’âge de 7 ans,
il touche son premier ballon de hand avec ses cousins, au club créé par ses grands-parents à Saint Vallier. Mis tôt dans le bain grâce à cette passion familiale, il s’y plaît et grandit dans le milieu du handball, sans négliger le judo, qui lui permet de rencontrer ses potes.
Aujourd’hui au Valence Handball, toujours sur la trace de ses cousins, il a fait le choix du sport collectif et abandonné le judo.
Il a récemment fait son premier match amical avec la Proligue, « sans jamais s’être entraîné avec eux et donc avec beaucoup de stress » avoue-t-il. « Mais ils ont été bienveillants avec moi » s’empresse-t-il de poursuivre. « Et puis Romain Nebois, mon coach était sur le banc pour me rassurer ». Il suit désormais quelques entraînements avec le collectif Pro. « Le niveau est très haut, il faut se donner à fond et être en permanence concentré pour prouver que l’on mérite d’être là », conclue-il.
Quant à la question quelle est ton idole ? Il répond « Je n’ai pas vraiment d’idole dans le handball, je n’ai jamais réfléchi à quel joueur je pouvais me référer ».
Une chose est sûre la marge de progression de Marius est encore grande et il pourrait nous réserver de belles surprises.